22 juin.
L'école reprend après 3 mois de confinement.
Mon fils me manque.
Quel silence...
J'ouvre Facebook et je vois ce panneau :
"Le silence n'est pas vide, il est rempli de réponses".
Ok, j'ai compris le message.
Le soir venu, je m'octroie un moment de lecture.
"A nous de savoir transformer nos distractions en occasion de retourner à Dieu. Tu es triste ou abattu ? Va rejoindre Jésus à Gethsémanie ! Un mariage ou une naissance ? Rends-toi avec les bergers à la Crèche ou sois un convive des noces de Cana !
Il n'y a rien de plus simple : revenir à Dieu dans les mystères du Rosaire"
Ces phrases sont de Ste Thérèse d'Avila.
Le Rosaire... tu m'en dira tant...
Et un besoin irrépressible se fait sentir en moi. Il me faut un Rosaire.
J'ai des perles en bois, de la laine...
Je n'ai pas de croix pour mettre au bout.
Et je n'en veux pas.
Dieu le Père, moi... c'est pas mon truc.
Depuis le 22 juin, chaque soir dans mon lit, je prie le Rosaire.
Avec le "Je vous salue Marie". Et rien d'autre.
Je lui confie ma journée.
Le silence n'est pas vide, il est rempli de réponses.
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